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Localisation : De retour à Savannah
| Sujet: Lucas Gibble || The one that got away Mer 11 Mar - 20:49 | |
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Lucas Aaron Gribble Ft Paul Wesley - Crédits NOM ► Gribble PRÉNOMS ► Lucas SURNOM(S) ► Luke, surtout pour Bella et Ethan ÂGE ► 28 ans DATE DE NAISSANCE ► 25 juin 1987 LIEU DE NAISSANCE ► Savannah, Géorgie ORIENTATION SEXUELLE ► Hétérosexuel STATUT CIVIL ► Officiellement marié, même si c'est compliqué MÉTIER ET/OU ÉTUDES ► Ancien militaire de retour, ancien étudiant en politique, reste à savoir si il va les reprendre QUALITES ► Charismatique, rassurant, ambitieux, rêveur, fantasque, protecteur, sûr de lui, mais pas arrogant, direct, franc, doux DEFAUTS ► Désinvolte, impulsif, un peu hyperactif, possessif, secret GROUPE ► Cotton Candy Laisse-nous te connaitre Ce qu'on doit savoir sur moi ? Commençons par ce que j'aime : Bella, bien évidement, Ethan, mes soeurs, mes parents. Disons que je pourrais vivre qu'avec ça, mais j'aime aussi le basket, les rebondissements, les fous-rires, les discussions à n'en plus finir jusqu'au bout de la nuit, le sport, les retrouvailles, tout ce qui bouge en général. Ce que je n'aime pas ? La routine, ça me terrifie. Le monotone. Le train-train. Les choux-fleurs. Ah ça oui, je déteste les choux-fleurs. Sinon je pense que c'est tout ! Et ta vie, ça donne quoi ? Savannah. Pour vous, il ne s'agit peut-être que d'une petite ville banale des États-Unis, quoi que réputée pour sa beauté, coincée au fin fond de la Géorgie, quelque part entre Orlando et Atlanta mais pour moi, c'est bien plus que ça. Savannah, c'est toute mon enfance, toute mon adolescence et même ma vie de jeune adulte. Alors vous allez me demander ce que je fous là, comme un touriste dans ma propre ville ? Pour cela, il y a une bonne partie de ma vie qu'il faut que je vous raconte et peut-être que là, vous me comprendrez un peu mieux. Sûrement mieux que personne n'a jamais réussi à le faire pour la simple et bonne raison que tout ça, l'intégralité de ma vie, personne ne la connaît. Certains en connaissent des bouts, parfois des gros bouts, mais personne n'en connaît l'intégralité, j'ai toujours été persuadé que c'était pour le mieux.
Pour commencer, je pense qu'un résumé rapide, clair et précis de mon enfance pourrait vous aider à me cerner. J'ai grandi dans une famille aisée, reconnue à Savannah, petit dernier après mes trois grandes sœurs, je vous laisse imaginé à quel point ces trois là ont fortement contribué au fait de me transformer en vrai petit prince à la maison. Ma mère n'y est pas innocente non plus du tout, elle m'a choyé, chouchouté et surprotégé. Bref, vous l'aurez compris, j'ai grandi dans un monde parfait et je n'ai jamais vraiment eu de problème de confiance en moi, chose totalement impossible quand quatre personnes vous disent tous les soirs que vous êtes le plus beau, le plus intelligent et le plus gentil de tous. Il y en a un que ça a toujours fait rire : mon père. Non pas qu'il me rabaissait, non, loin de là, il était juste amusé de me voir ainsi entouré et chouchouté. En parlant de mon père, il est médecin et sa réputation le précède, ce qui nous a grandement aidé à ne jamais manqué de rien. Pour compléter le cliché parfait qu'est ma vie et particulièrement mon enfance, j'ai toujours été bon à l'école. J'ai réussi dans toutes les études que j'ai entreprit et je jouais au basket. Je vous jure je suis un cliché du rêve américain réussi, enfin, vous énervez pas non plus, écoutez la suite, ça ne va pas durer.
Si je vous parle de mon enfance et que j'oublie de vous parler d'Ethan, je pense qu'il risquerait de me tuer avant même que j'ai eu le temps de m'excuser. Il fait partit des personnes qui connaissent une bonne partie de l'histoire d'ailleurs. Ce mec, c'est mon meilleur ami, il n'y a pas d'autre mot pour le décrire. Encore un cliché de la série américaine vous allez me dire mais ce n'est pas ça, c'est juste.... Anderson & Gribble, le duo de choc. Toujours tous les deux, copains comme cochon, cul et chemise, tout un tas d'expression qui prennent sens quand vous nous avez vu en action tous les deux. On a fait tout et n'importe quoi ensemble (surtout n'importe quoi vous dirons nos parents), des blagues de gamins dans les toilettes de l'école, aux plans parfaits pour faire tomber les filles. Ah oui, les filles ça nous prenait beaucoup de temps dans notre vie et on va pas dire qu'on s'en plaignait. Du moins moi, je ne m'en plaignais pas. Avec Ethan, je me suis toujours sentit bien, on était les rois du monde quand on était ensemble, rien ni personne ne pouvait nous arrêter et j'aimais notre amitié par dessus tout. Vous allez comprendre bientôt pourquoi je met tout au passé, je vous le promet.
Là en gros, vous avez une vue d'ensemble de ma vie avant mes quatorze ans. Je vous ai posé le cadre, plutôt idyllique je vous le conçois. Alors pourquoi tout a changé à quatorze ans ? Parce que j'ai rencontré Bella, parce qu'on a rencontré Bella. Elle est rentré dans ma vie comme une bombe, dans notre vie. Il faut que j'apprenne à tout mettre à la première personne du pluriel sur ça, ça n'aurait pas de sens sinon. Bella à cette époque là, c'était la petite fille d'à peine douze ans, persécuté par quelques pétasses de notre école qu'Ethan et moi avons prit sous notre aile. Ça a toujours été logique, on a jamais forcé les choses, ça nous a juste paru évident à tous les deux, comme si elle avait donné un sens, un but à notre amitié. On s'est naturellement fixé comme objectif commun de tout faire pour la protéger, coûte que coûte et je n'aurais jamais pensé un jour que j'aurais préféré qu'on ne se le fixe pas cet objectif... Je m'égare, je dois d'abord vous raconter le passé avant de vous faire part du présent. On était tic & tac avant l'arrivée de Bella, nous serions les trois mousquetaires à partir de maintenant. Le plus important dans tout ça, c'est que tous les trois, on était heureux comme ça.
Jusqu'à mes dix-huit ans, je n'ai jamais vu Bella autrement que comme ma petite protégée, jamais. A cet époque là, j’enchaînais les conquêtes, une par semaine en moyenne, la plus longue avait du durer un mois au grand maximum. Je pourrais vous citer le moment exact où j'ai compris que Bella, c'était plus que ça, le moment exact où j'ai jeté mon dévolu sur celle qui est aujourd'hui ma femme. C'était le jour de mes dix-huit ans, elle est arrivée à la soirée de mon anniversaire, en robe, parfaitement coiffée et maquillée et j'aurais juré que le monde s'était arrêté de tourner. Je ne voyais plus qu'elle. Je suis loin d'être coincé, comme je vous l'ai dit, j'ai confiance en moi et il n'en fallu pas plus pour moi pour l'inviter à dîner. Un, deux, trois rendez-vous, c'était décidé, elle me plaisait, bien plus que toutes celles avant elle. C'était vraiment différent de sortir avec quelqu'un qu'on aime, c'était bien plus fort, plus intense. Traduction de tout ce que je suis en train de vous dire, je tombais doucement mais durement amoureux de ma meilleure amie. Je ne voyais plus que par elle et je me demandais régulièrement le sens de ma vie avant de comprendre tout ça. Je vivais sur un nuage encore plus haut que celui sur lequel j'étais avant alors c'est tout naturellement que je l'ai demandé en mariage pour ses 19 ans. Ça me semblait naturel, logique, tellement simple. On s'est marié deux ans après et je mentirais si je vous disais que ce n'était pas franchement le meilleur jour de toute ma vie. Les simples mots ''Je le veux'' sortant de sa bouche ont littéralement fait arrêter mon cœur de battre pendant quelques secondes. C'était beau, c'était simple, c'était nous.
Ethan n'avait pas quitté le tableau, toujours là, dans les bons moments comme dans les pires et je lui en étais reconnaissant. La seule chose qui m'énervait, c'est la connexion entre Ethan et Bella. J'avais la désagréable impression qu'il avait un décodeur intégré pour la comprendre, souvent bien mieux que moi et j'étais clairement jaloux de cela. Vous vous dites sûrement que je ne devrais pas être jaloux de mon meilleur ami mais c'était plus fort que moi. Quand elle allait mal, quand on se disputait, elle allait le voir et il la réconfortait, ça me rendait littéralement dingue. Cette amitié me bouffait de l'intérieur mais je ne disais rien, je savais que je ne pouvais rien dire à ce sujet. Doucement avec Bella, on a commencé à faire des projets : d'abord de maison, puis d'enfants. On avait à peine 25 ans et on se projetait comme un couple de dix ans de plus. Au début ça me plaisait mais rapidement, je me suis sentit mal à l'aise dans tout ça. Je n'étais pas prêt. La routine me faisait peur, j'avais besoin d'action, d’héroïsme, d'aventure. Comment dire à votre femme que vous aviez l'impression d'aller trop vite ? C'était juste impossible. Alors j'ai tout plaqué sur un coup de tête. Mes études de politique commencées pour faire plaisir à mon père, mes parents, mes sœurs mais surtout mon meilleur ami et ma femme. Du jour au lendemain, je me suis engagé et je suis parti au front pour trois ans. Au moins à cet âge là, peut-être que j'aurais eu ma dose de cascade et qu'il serait temps de faire des projets plus concrets.
Alors j'ai passé les trois années suivantes de ma vie au front. Je ne vais pas vous dire que tout était parfait, ça reste le front et ce qu'on vous raconte sur tout ça, c'est vrai. C'est immonde, affreux et les permissions sont précieuses. Mes proches me manquaient, Ethan me manquait, Bella me manquait. Quand je revenais, je mourrais d'envie de rester avec elle et repartir me déchirait à chaque fois. Mais malgré tout cela, j'étais heureux. J'avais l'impression d'avoir donné un sens à ma vie, j'avais une raison de me lever chaque matin, je me battais pour une cause et ça me rendait heureux. Et puis il y a eu un grand boom, une explosion, des cris et puis plus rien. Je me suis réveillé deux mois après à l’hôpital, enfin j'ai mis du temps à comprendre où j'étais. On m'a raconté l'accident, on m'a raconté la mort de tous mes camarades et on m'a dit qu'on n'avait jamais réussi à m'identifier. J'avais beau réfléchir, je ne me souvenais de rien. En tout, j'ai mis six mois après mon accident à me remettre physiquement. J'ai mis deux mois à me réveiller, un de plus à m'asseoir et trois encore pour me remettre à marcher. Psychologiquement, ça a été encore plus compliqué. On avait beau tout essayer avec les médecins, les souvenirs ne revenaient pas et puis doucement, au cours du dixième mois de convalescence, ça a commencé à revenir. Très lentement, petit à petit et puis brutalement. Tout est revenu d'un coup, ma vie d'avant, le front, l'accident, tout. Je ne pouvais pas rester ici, il fallait que je retourne à Savannah, il fallait que je revois Bella, Ethan, mes parents. Je me suis rappelé des raisons de mon départ aussi et qui aujourd'hui, me semblait encore plus logiques qu'avant. Je n'étais toujours pas prêt à me poser définitivement, même si je savais que je voulais finir ma vie avec Bella. J'ai appris d'ailleurs par les journaux qu'on avait annoncé ma mort près de dix mois auparavant. Il fallait que j'élabore un plan, quelque chose pour justifier mon absence, mon retour, tout ça. Je crois que parmi toutes mes erreurs, celle-là fut la plus belle.
11 mois après mon accident, j'ai donc remit le pied dans la ville qui m'a vu naître, grandir, partir. Je suis déterminé à récupérer Bella et tout dans ma tête est parfaitement calculé. Officiellement, je n'ai toujours pas retrouver mes souvenirs précédents mon départ mais je me souviens parfaitement du reste. Comme si ma vie s'était arrêté avant mon mariage, juste avant. J'y ai minutieusement réfléchi, ça nous laisserait le temps de reprendre doucement notre vie, ça nous laisserait le temps avant de nous poser réellement. J'ai même demandé l'avis d'un médecin, mon histoire est crédible, tout va parfaitement marcher, comme sur des roulettes. La seule chose à laquelle je n'avais pas pensé, que je n'avais même pas pu imaginé tant ça me semblait invraisemblable, c'était qu'Ethan viendrait se mêler à tout ça. Je les ai vu, tous les deux dans Savannah, sortant de l’hôpital. Mon meilleur ami et ma femme, ensemble, bras dessus bras dessous comme un petit couple, comme si je n'avais jamais existé, je crois que c'est franchement la vision la plus horrible que j'ai jamais eu de ma vie. J'aurais pu rentrer et venir me mêler à tout ça sauf que je savais que je péterais un plomb et je ne pouvais pas me permettre de griller ma couverture. Alors je suis resté loin à regarder mon meilleur ami rendre heureux la seule femme que j'ai un jour aimé. Je ne peux pas laisser faire ça, je ne peux pas lui laisser l'espoir de croire qu'il peut la rendre heureux. Je vais revenir dans sa vie avec la ferme intention de récupérer ce qui est à moi, point final. Toi derrière l'écran PSEUDO/PRÉNOM ► Charlotte || Against All Odds ÂGE ► 17 ans et plus toutes mes dents depuis une semaine SEXE ► Who run the world ? GIRLS PAYS/RÉGION ► Normandie city TU NOUS AS CONNU COMMENT ? ► Sur facebook à la base des bases mais en fait, j'étais déjà sur la première version sous Keenan ! POURQUOI T'ETRE INSCRIT(E) ? ► Alors tout d'abord je m'excuse de mon départ de la première version un peu précipité, j'avais plus de motivation et des problèmes personnels (qui n'excusent d'ailleurs absoluement pas le fait que je sois partie comme ça!) mais les scénarios de Bella, je résiste jamais alors me revoici ! UNE PROPOSITION OU SUGGESTION A NOUS FAIRE ? ► Hm, pas pour l'instant ! UN DERNIER TRUC A DIRE ? ► Sophia Bush et Jesse Lee Soffer, c'est la vie |
Dernière édition par Lucas Gribble le Mer 11 Mar - 22:38, édité 5 fois |